Oui Wam j'ose le dire
L'objectivité, c'est de ne pas chercher à comparer le geste de Waris avec celui de Ferri qui est d'abord un excès d'engagement comme tu en vois tous les week-ends. Peut-être que ça mérite plus un rouge qu'un jaune si tu veux, question de ressenti de l'arbitre sur quelques fractions de seconde. Oui il blesse Beric, mais doit-on sanctionner le geste ou les conséquences du geste ? (dans ce cas c'est rien pour Waris ?) Mais demander le double de Waris pour ce geste, je trouve pas ça très objectif justement
Waris c'est une grosse faute totalement intentionnelle sans la moindre intention de prendre le ballon, juste choper le bonhomme, puis un comportement totalement inadmissible après son expulsion (il se passait quoi au fait d'après toi si ses coéquipiers ne le retenaient pas ?
). Qu'il ne blesse personne ça ne change pas grand chose dans l'histoire, ça aurait juste alourdi la sanction. Il a du avoir droit à un rapport de l'arbitre bien gratiné après le match, c'est pour ça qu'il prend cher. En tout cas je n'ai pas la conviction comme tu sembles l'avoir que les arbitres, la Ligue et le monde entier sont vraiment trop méchants avec nous, plus qu'avec les autres clubs, en comparant la sanction de Waris à toutes les décisions que va prendre (ou pas) la commission de discipline. Waris a fait une grosse connerie, il la paie, c'est normal. Même si ça m'aurait arrangé qu'il ne prenne que 2 matchs
Sinon que ça te plaise ou non je continuerai à ramener ma fraise quand je considérerai qu'un arbitre se fait pourrir à tort ou de manière exagérée (comme ça a été le cas pour Rainville contre Guingamp) ou qu'on jouera les calimeros sur l'arbitrage. Aucune provoc là-dedans, juste une conviction que l'arbitre, ses interprétations différentes de celles que chacun (dont moi) peut avoir et ses éventuelles erreurs (je n'ai jamais nié des erreurs, j'en fais juste pas le complot du siècle à chaque fois) font partie du jeu et que ça ne mérite pas le lynchage permanent auquel ils ont droit avec très souvent une mauvaise foi phénoménale. Tu n'auras pas ma liberté de penser