Cette saison le bas du tableau est nettement plus resserré, avec aucune équipe totalement décrochée comme pouvait l'être Dijon, et la possibilité de remonter au classement avec un ou deux résultats positifs.
C'est encourageant pour la fin de saison, à condition de ne pas trembler face aux concurrents directs.
Je me suis amusé à regarder leur calendrier, ça donne ça (en gras les équipes du top 5, en rouge les équipes à la lutte :
Citer :
Bordeaux : Montpellier (D), Lille (E), Metz (D), Lyon (E), Saint-Etienne (D), Nantes (E), Nice (D), Angers (E), Lorient (D), Brest (E)
Metz : Lens (D), Rennes (E), Monaco (D), Bordeaux (E), Clermont (D), Lorient (E), Brest (D), Montpellier (E), Lyon (D), Angers (D), PSG (E)
Saint-Etienne : Troyes (D), Marseille (D), Lorient (E), Brest (D), Bordeaux (E), Monaco (D), Rennes (E), Nice (E), Reims (D), Nantes (E)
Clermont : Lens (E), Nantes (D), PSG (D), Metz (E), Troyes (E), Angers (D), Brest (E), Montpellier (D), Strasbourg (E), Lyon (D)
Troyes : Saint-Etienne (E), Reims (D), Monaco (E), Strasbourg (D), Clermont (D), Nice (E), Lille (D), PSG (E), Lens (D), Lorient (E)
Angers : Brest (D), Lyon (E), Lille (D), Nantes (E), PSG (D), Clermont (E), Monaco (E), Bordeaux (D), Metz (E), Montpellier (D)
La bataille va être acharnée jusqu'au bout, avec encore beaucoup de confrontations de bas de tableau qui risquent de faire du dégât au classement et dans les têtes. On aura peut-être l'avantage d'avoir l'expérience de ce genre de situations difficiles, mais le mental seul ne nous sauvera pas.
Notre calendrier par comparaison :
Citer :
Lorient : Strasbourg (D), PSG (E), Saint-Etienne (D), Nice (E), Metz (D), Rennes (E), Reims (D), Marseille (D), Bordeaux (E), Troyes (D)
De toutes les équipes à la lutte, on a sur le papier le calendrier le plus difficile. On rencontre plus d'équipes du top 5 que les autres, et on rencontre quatre fois des équipes de notre championnat. Les gros du championnat nous offrent l'opportunité d'exploiter au maximum le style de Pélissier, c'est-à-dire défendre et contrer, donc il est possible que ce soit un mal pour un bien d'en croiser autant. Les joueurs calculent moins, et la présence des caméras peut en réveiller certains.
Je ne suis pas sûr que Lyon ou Monaco, qui ne sont pas complètement décrochés, soient des adversaires plus faciles à manœuvrer - on l'a bien vu.